La Traviata

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La traviata
Opéra de Giuseppe Verdi
en italien avec surtitres en allemand
1 entracte

 

La célèbre histoire d’amour tragique entre la courtisane de luxe Violetta et Alfredo, le fils d’une famille parisienne respectée. Avec Alfredo, la belle Violetta découvre enfin le véritable amour. Mais après un court bonheur partagé, le père d’Alfredo parvient à convaincre Violetta que leur relation nuit à la réputation de sa famille. Désespérée, elle quitte Alfredo et se plonge dans le demi-monde parisien, ce qui a des effets désastreux sur sa santé déjà affaiblie par la tuberculose. La réconciliation arrive trop tard.

 

Argument

L’action se déroule à Paris et dans ses environs autour de 1850 (en août pour le premier acte, janvier pour le deuxième et février pour le troisième).

Alfredo Germont, jeune homme issu d'une bonne famille provençale, tombe amoureux d’une courtisane en vue, Violetta Valéry, lors d’une soirée privée à Paris. Sincèrement amoureuse, Violetta abandonne son métier et se donne sans réserve à Alfredo. Cependant, monsieur Germont, le père d'Alfredo, au nom de la respectabilité bourgeoise, obtient d'elle qu'elle rompe avec son fils. Violetta écrit alors une lettre de rupture à Alfredo sans dévoiler le motif réel de sa décision. La maladie mortelle (la tuberculose) dont elle était déjà atteinte, reprend alors de plus belle. Un mois plus tard, Alfredo apprend de son père que Violetta n’a jamais cessé de l’aimer, et qu'elle a sacrifié son amour à la réputation de son amant. Saisi par le remords, il accourt à son chevet, mais trop tard : épuisée par la maladie, Violetta meurt dans ses bras.

 

Acte I

Le prélude installe d'emblée le climat pathétique de l'opéra. Le rideau se lève sur un salon dans un hôtel particulier à Paris. Pour s'étourdir, Violetta Valéry, courtisane célèbre, donne une fête. Tous ses amis sont réunis autour d'elle, à commencer par son protecteur et amant en titre, le baron Douphol. Au cours de cette fête, Gaston, un admirateur lui présente un de ses amis venu de province, Alfredo Germont. Après que tous les invités, Alfredo en tête, ont porté un toast à la joie de vivre (c'est le célèbre brindisi : « Libiamo ne' lieti calici (Buvons dans ces joyeuses coupes) »), le nouveau venu déclare sa flamme à Violetta, qui dans le duo qui suit (« Un dì, felice, eterea (Un jour, heureuse, sublime) ») se laisse tenter par l'espoir d'un amour véritable, avant de rejeter cette perspective irréaliste, - une fois restée seule, dans le célèbre grand air qui clôt ce premier acte «È strano ! È strano !... / Ah, fors'è lui che l'anima... / Follie, Follie ! Delirio vano è questo ! ...» (« C'est étrange ! C'est étrange ! ... » / « Ah, peut-être qu'il est celui que [mon] âme ... » / « Folies ! Folies ! Ce n'est qu'un vain délire ! ... »).

 

Acte II

Alfredo et Violetta se sont installés dans une villa, près de Paris et vivent le parfait amour, quand Alfredo apprend par Annina, la femme de chambre, que Violetta est obligée de vendre meubles et bijoux pour subvenir à leurs dépenses personnelles. Il se rend donc à Paris pour payer les dettes de Violetta.

Restée seule, Violetta reçoit la visite inattendue du père d'Alfredo, Giorgio Germont. Monsieur Germont, en vrai « père noble » du drame romantique, reproche à Violetta d'entretenir une union immorale avec son fils, et regrette que cette aventure jette le discrédit sur toute sa famille, en empêchant notamment le mariage de la jeune sœur d'Alfredo avec un homme d'une famille distinguée, qu'on devine assez conservatrice. Il l'accuse également de pousser Alfredo à la dépense. Il joue ainsi sur le désir de reconnaissance de la « fille » qu'est de toutes façons à ses yeux Violetta, précisant cruellement qu'une liaison entre personnes de milieux si différents ne pourra jamais être couronnée par un mariage. Il lui demande donc de renoncer à cette liaison. Cédant à ces injonctions, Violetta fait remettre sa lettre de rupture à Alfredo, et part rejoindre les invités de la fête que donne Flora, son amie, à Paris.

Alfredo se rend aussi à cette fête à laquelle Violetta se présente accompagnée du Baron Douphol. Après avoir insolemment gagné au jeu, Alfredo rappelle les invités dans le salon et jette l'or qu'il vient de gagner, par terre devant Violetta. Les invités sont scandalisés par son geste. Giorgio Germont survient à propos pour condamner à son tour la goujaterie de son fils.

 

Acte III

Violetta en proie à une rechute de son mal est soignée par Annina dans son appartement parisien surveillé par les créanciers. Elle relit la lettre de Giorgio Germont, qui lui révèle qu'il a tout avoué à son fils, et qui lui annonce qu'Alfredo viendra lui-même lui rendre visite. Pendant qu'au-dehors retentit la joie du carnaval, Violetta tourne le dos à son passé de pécheresse, en attendant le retour d'Alfredo, l'homme qu'elle n'a jamais cessé d'aimer (« Addio del passato (Adieux au passé) »). Mais à peine ce dernier se fait-il annoncer (« Parigi, o cara (Paris, ô ma chérie) »), qu'elle meurt à bout de forces dans ses bras.

Programme et distribution

Mise en scène : Hans Gratzer
Décors : Hans Gratzer
Costumes : Barbara Naujok
Direction du chœur : Roger Díaz-Cajamarca
Conception des lumières : Frank Sobotta
Dramaturgie : Birgit Meyer

Galerie de photos
La Traviata
Barbara Pálffy/Volksoper Wien
© Barbara Pálffy/Volksoper Wien
La Traviata
Barbara Palffy/Volksoper Wien
© Barbara Pálffy/Volksoper Wien

Volksoper Vienne

Transports en commun:

Métro ligne U6
Trams 40 , 41 , 42
40A de bus
Stop " Währinger Straße / Volksoper "

Une station de taxi se trouve à Währinger Gürtel .
Parkings en ​​WIFI et AKH

Le Volksoper est l'étape principale de Vienne pour l'opérette , l'opéra , des comédies musicales et des ballets , offre un divertissement musical sophistiqué. Colorée , éclectique et plein de vitalité , il est le seul théâtre dédié au genre de l'opérette .

Opérette appartient à Vienne et de Vienne a installé à la maison de l'opérette , Volksopera Vienne , qui devint alors la principale maison d' opérette dans le monde . Chanteurs de première classe , comédiens et danseurs accompagnés d'un orchestre polyvalent cunjure un feu d'artifice musical tous les soirs .
Johann Strauss , Franz Lehár , Kálmán écrit leurs mélodies aimées du monde célèbre pour opérettes telles que " La Chauve-souris ", " La Veuve joyeuse " et " Le Csárdás Princess" . La visite d'au moins un de ces opérettes au Volksopera Vienne est un must pour tous les visiteurs de Vienne !

Également effectuées sont des opéras du 18ème , 19ème et 20ème siècles , ainsi que des comédies musicales et des ballets . En outre, le Volksoper a un cinquième spécialité de longue date et éprouvée : elle met en scène des soirées cabaret , des spectacles burlesques et sous le nom de " Volksoper Spezial " .

Dans le théâtre de répertoire , qui peut accueillir 1337 personnes , 300 performances d'environ 35 productions différentes sont organisées chaque année entre Septembre et Juin .

Volksoper Viena
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© Barbara Pálffy/Volksoper Wien
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